En mai, un article indiquait que le Québec devrait investir davantage dans la prévention des infections transmissibles sexuellement (ITS-IST, MTS-MST), notamment auprès des jeunes et des homosexuels. Il mentionnait qu’il serait plus rentable d’axer sur la prévention que de dépenser des fortunes dans le traitement des malades, clament certains spécialistes après avoir lu les dernières données gouvernementales.
Les statistiques rapportées dans l’étude ARGUS sont troublantes :
• 49 % des homosexuels interrogés se sachant infectés par le VIH ont eu au moins une fois une relation anale non protégée par un condom avec un partenaire d’un soir ou un partenaire autre qu’un partenaire connu de statut VIH positif.
• En 2010, les 15-24 ans représentaient 10 % des nouveaux diagnostics d’infection par le VIH, un chiffre en hausse régulière. Les jeunes représentent aussi la majorité des nouveaux cas de chlamydia et de gonorrhée au Québec. Même la syphilis infectieuse, qui avait quasiment disparu depuis 30 ans, est réapparue.
C’est à qui de prendre la relève?
Voir l’article – ITS : plaidoyer pour plus de prévention
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